sketchfab est désactivé. Autoriser le dépôt de cookies pour accéder au contenu.

Représenter la diversité, susciter le débat et transmettre la connaissance : cas pratiques

N° : 12487 audio/mpeg - 55,9 Mo - 0:58:11 (approx)

Description / Résumé

L'intervention de Martine Lacas, commissaire de l’exposition, au musée du Luxembourg a pour objet l'exposition: Peintres femmes, 1780-1830. (du 19 mai au 25 juillet 2021)
Si la gloire d’Elisabeth Vigée Le Brun est liée à l’Ancien Régime, il faut attendre la deuxième moitié du XIXe siècle pour trouver des peintres femmes aussi remarquables. Pourtant, c’est entre 1780 et 1830, que le combat de ces dernières a trouvé ses racines : le droit à la formation, la professionnalisation, une existence publique et une place sur le marché de l’art.
Les artistes femmes présentées au Musée du Luxembourg à l’occasion de cette exposition furent tant les actrices de ces changements sociaux que des mutations de l’art du XIXe siècle.

Lucia Pesapane, commissaire d’expositions et ancienne responsable de la programmation artistique à la Monnaie de Paris présente l'exposition Kiki Smith à la Monnaie de Paris.
Le 11 Conti - Monnaie de Paris a présenté du 19 octobre 2019 au 9 février 2020, la première exposition personnelle de l’artiste américaine Kiki Smith (née en 1954, vit à New York) dans une institution française.
Le parcours conduira à travers les thématiques majeures du travail de l’artiste, parmi lesquelles le corps humain, les figures féminines et la symbiose avec la nature composent des motifs récurrents. Les œuvres présentées à la Monnaie de Paris refléteront la grande diversité de la pratique de Kiki Smith, qui explore de nombreux medium : le bronze, le plâtre, le verre, la porcelaine, la tapisserie, le papier, ou encore la cire.
L’art de Kiki Smith se nourrit symboliquement des souvenirs de son enfance – des lectures des contes de Grimm et de Perrault au travail de modélisation effectué pour son père, le sculpteur Tony Smith. L’ensemble de son œuvre est marqué par sa fascination pour le corps humain, qu’elle représente d’abord de manière morcelée, la peau apparaissant comme une frontière fragile avec le monde.

A propos de l’édition du colloque « Ce qu’exposer veut dire – édition n°8 » proposée en 2019

Placée sous la direction de Philippe Dagen, la rencontre, ouverte au plus large public et destinée aussi aux élèves conservateurs en formation, avait pour ambition de présenter les différentes problématiques qu’implique le projet d’exposition depuis sa conception jusqu’à son ouverture au public, à travers l’exemple de manifestations emblématiques de l’année 2018.

 Expositions d’archives, d’art contemporain, mais aussi expositions dans les monuments historiques, chaque exemple a été l’occasion de faire intervenir les différents acteurs qui travaillent à l’élaboration de ces manifestations artistiques ou scientifiques et d’aborder des thématiques aussi diverses que l’édition du catalogue, le mécénat, le public et la médiation, la conservation préventive, le transport et l’installation des oeuvres ainsi que la scénographie.

Auteur/artistes/intervenants

Direction scientifique ou pédagogique

Type de document

Date de captation

Citer la ressource

Lacas, Martine; Pesapane, Lucia , "Représenter la diversité, susciter le débat et transmettre la connaissance : cas pratiques", Médiathèque numérique de l'Inp, 09 avril 2021 (consulté le 10 novembre 2024), https://mediatheque-numerique.inp.fr/rencontres-debats/ce-quexposer-veut-dire/ce-quexposer-veut-dire-2020/representer-diversite-susciter-debat-transmettre-connaissance-cas-pratiques

Type de licence

CC BY-NC

Conditions d'utilisation

L'institut national du patrimoine autorise l’exploitation de ce document à des fins non commerciales, ainsi que la création d’œuvres dérivées, à condition qu’elles soient distribuées sous une licence identique à celle qui régit l’œuvre originale.