sketchfab est désactivé. Autoriser le dépôt de cookies pour accéder au contenu.

Des cheveux dans des diplômes mérovingiens et carolingiens

N° : 199 video/mp4 - 38,8 Mo - 1280x720 - sRGB

Description / Résumé

Entretien vidéo d'Agnès Prévost, atelier de restauration des sceaux, Archives nationales et Philippe Charlier, paléoanthropologue, médecin légiste à l'hôpital de Garches. Les trésors du patrimoine écrit / Les documents de la Bibliothèque nationale de France / des Archives nationales à la loupe. Partenariat entre l'Institut national du patrimoine et Connaissance des arts. L'Inp, la BnF et les Archives nationales organisent chaque année un cycle de conférences consacrés aux trésors du patrimoine écrit. Conservateurs, historiens de l'art, spécialistes des textes et restaurateurs partagent avec les étudiants, amateurs et curieux leur savoir et leur passion autour de manuscrits et de documents originaux, qui sont exceptionnellement sortis des réserves de la BnF et des magasins des Archives nationales.

De récents travaux de recherche, à la fois historiques et médico-légaux, ont permis de mettre en évidence, dans plusieurs sceaux royaux d’époques mérovingiennne et carolingiennne, de curieuses fibres qui se sont révélées être des cheveux humains. On doit alors s’interroger sur la raison de la présence de ces cheveux : leur valeur est-elle purement technique ou, plus probablement, symbolique ?

Auteur/artistes/intervenants

Type de document

Institution(s) prêteuse(s) / Institution(s) partenaire(s)

Producteur(s) externe(s)

Réalisateur

Date de captation

Citer la ressource

Charlier, Philippe , "Des cheveux dans des diplômes mérovingiens et carolingiens", Médiathèque numérique de l'Inp, 14 février 2014 (consulté le 25 décembre 2024), https://mediatheque-numerique.inp.fr/rencontres-debats/tresors-patrimoine-ecrit/cheveux-dans-diplomes-merovingiens-carolingiens

Type de licence

CC BY-NC

Conditions d'utilisation

L'institut national du patrimoine autorise l’exploitation de ce document à des fins non commerciales, ainsi que la création d’œuvres dérivées, à condition qu’elles soient distribuées sous une licence identique à celle qui régit l’œuvre originale.